BANKING AND INSURANCE PRODUCTS
Dicta

Présentation

Dans une économie dont les notes caractéristiques viennent définies actuellement par la dispersion des marchés, le flux des capitaux à un niveau transnational, l'apparition incessante de nouveaux produits financiers, le déroulement vertigineux d'outils technologiques et l'éloignement du citadin des centres politiques de prise de décisions, la tâche de replacer le consommateur comme protagoniste citadin du processus productif et commercial, il devient non seulement une exigence formellement réclamée par les lois, mais le noyau déterminant de la bonne santé d'un modèle social et économique.

Le système normatif financier d'un marché qui, comme l'Européen, est prétendu unitaire, est l'un des éléments considérés essentiels par les acteurs économiques pour que le dit environnement géographique se constitue dans un but préférentiel pour les prêteurs de ces services et serve à définir au dit marché comme moderne. Cependant, telle note de modernité manquerait de la consistance et la rigueur nécessaire sans un niveau adéquat de confiance qui inspire une sûreté aux consommateurs comme opérateurs principaux de ce marché. Par cela, elle semble fondamentale, l'existence d'un cadre normatif solide et efficace qui garantit les droits des usagers de services financiers.

Qu'un environnement économique dans un déroulement continuel, comme c'est le marché unique européen, dispose d'un régime juridique qui garantit convenablement la protection des droits économiques des usagers de produits et de services financiers exige comme note ajoutée de maturité, de la participation active de ceux-ci qui, à travers fondamentalement du modèle associatif qui articule la voix civile des citadins consommateurs. En face de la vraie avalanche qui constitue la nouvelle économie les consommateurs et ses Associations nous devons plus alerte que jamais, conscients et responsables de nos propres droits. C'est, précisément, l'esprit qu'il anime le présent travail.

Le résultat final de cette tâche, dans la que le «Dosier Forum Permanent de Législation Nationale et Européenne» il constitue son premier chaînon, doit contribuer d'une manière décisive à créer un authentique réseau européen, permanente et compacte, d'une étude et une vigilance du marché financier : marquer les lagunes qu'elles touchent aux droits des usagers de ces services, et dicter de la même manière les critères qui doivent être tenues en compte par le législateur dans la construction d'un vrai espace social européen pour les consommateurs, conforment les défis primordiaux de ce Forum Permanent.

Le résultat de ce Fichier serait le reflexe du travail d'un réseau d'experts juridiques et économiques dans les problèmes de consommation, qui émettent périodiquement des rapports extrêmement critiques sur la régulation nationale et européenne, et les pratiques de marché dans déterminés produits et services de la consommation qui provoquent controverse et des préjudices aux consommateurs, et qui sont évidents actuellement dans les diferents pays.

Le but est d'engendrer un outil qui acueille les arguments juridiques et économiques adéquats pour la défense du consommateur dans des problèmes concrets de consommation, de façon que les dits arguments engendrent un débat continuel entre des professionnels de la consommation, promouvent les contrôles administratifs et des échanges normatives en faveur des consommateurs, et permettant aux organisations des consommateurs entreprendre des défenses collectives des consommateurs en partant des raisonnements juridiques et économiques qui dénoncent d'avance des situations générales de préjudice aux consommateurs, et être mobilisé en groupant les consommateurs nuis dans sa défense à travers des actions judiciaires et extrajudiciaires, ainsi que prévenir et éviter ces situations à travers des actions de cessation.

Il est évident que l'actuel système souffre d'une manque d’étude en profondeur de la part des consommateurs puis que les appuis juridiques que les associations de consommateurs reçoivent non toujours sont integreés dans les mêmes Associations comme pour aller au-delà de ce que la réglementation règle, et prédire les problèmes qui peuvent être engendrés pour les consommateurs grâce à ce que la dite réglementation règle quelques aspects importants pour les consommateurs de forme ambiguë ou en permettant aux entreprises sauver la loi pour faire les mêmes activités en nuisant les consommateurs.

Ainsi, l'expérience observée en Espagne et dans l’ensemble de l'Union Européenne révèle la lenteur et un manque de capacité de réaction des consommateurs, ses organisations et ses administrations, en face des cas collectifs de préjudice économique aux consommateurs quand un problème de consommation déjà existant il est déjà découvert dans la difficile situation de réparation (les Exemples : l'Agence de Valeurs «AVA» et «GESCARTERA”, Des agences d'inversion «Investahorro”, des Plans de Retraite « Intercaser”, des inversions dans des valeurs de philatélie: “BANFISA”, des crédits à la consommation dans des académies d'anglais,-Opening, Oxford, Wall Street, le Cambridge-, des actionnaires minoritaires de «TERRA” et «NETWORK”, des dépôts structurés de «Caisse Rurale de Valence, la Caisse d'Épargnes de la Navarre, BBVA”, et les autres, etc..) ils font la nécessité évidente de donner des arguments juridiques et économiques contondants et dirigés à la défense des consommateurs pour que les organisations de consommateurs et les administrations de consommation sachent réagir devant ceux-ci des cas et les prévenir à travers des actions de cessation, d'inspections, et des contrôles des Institutions de contrôle. Par cela, s'est établi un indice du travail que nous sommes sûrs répond aux nécessités et des préoccupations des usagers de l'actuel marché financier.

La tendance de fixer une réglementation européenne commune, provoque l'établissement de réglementation et d'accords des minimes, en permettant ou non, selon les cas, que ce soient les États ceux qui agrandissent la protection des consommateurs, une plus grande harmonisation étant provoquée de cette forme mais en poussant ou en proportionnant une excuse aux Lobbies des entreprises pour demander une réglementation nationale de moins stricte, étant basé sur l'harmonisation de réglementation européenne, comme par exemple l'accord de bonnes des pratiques dans la transparence d'emprunts hypothécaires, qui dans un cas a engendré la tentative de baisser les garanties pour le consommateur.

De plus, le manque de réglementation à un niveau européen sur quelques champs, fait que chaque État réagit d'une forme distincte devant les problèmes des consommateurs, en fonction de la sensibilité qui existe vers ce problème déterminé, en engendrant des différencies de protection les consommateurs selon les pays, et il manque une communication entre les associations de consommateurs à un niveau international pour tenter obtenir que dans ses États des réglementations pareilles aux obtenues s'appliquent dans d'autres États, comme par exemple, l'existence d'une Loi de Surendettement en France et en Belgique, avec un caractère avantageux pour les consommateurs, mais qui est inexistant dans beaucoup d'autres pays de L'Europe.

Ces problèmes requièrent la coordination dans l'étude des problèmes des consommateurs par des juristes, des économistes, des professeurs universitaires, etc.. et les associations de consommateurs, Cet étude doit être permanente, profonde, et avec une haute dédicace de la part de tous.

De plus ces problèmes requièrent la coordination dans l'étude de représentants des distincts pays européens qui apportent la situation légale du consommateur dans son pays, ses problèmes, et les solutions des prises. Et également l'étude doit être permanente, profonde, et avec une haute dédicace. Cette coordination et une collaboration entre des associations de consommateurs est actuellement engendrée d'une forme timide à travers des projets de collaboration supranationale, à travers des fédérations européennes des associations de consommateurs, et à travers des comités et des groupes de travail de la Commission Européenne, dans que l'on réunit les représentants des pays distincts, spécialement pour consultation et une formation sur l'application de réglementation et de rôles à un niveau européen.

Dans l'actuelle situation des associations de consommateurs et son influence sur la réglementation nationale et Européenne, les associations de consommateurs ont besoin d'un point de référence qu'au nom des consommateurs, étude profondément les problèmes de ceux-ci et la législation qui les règle à un niveau international, et qui prend une position de radicalisme absolu dans une défense des intérêts des consommateurs à un niveau européen, avec une base solide d'étude légale.

Le radicalisme des positions de ce fichier, en faveur des intérêts des consommateurs c'est nécessaire, puisqu'il doit fortement inciter les associations de consommateurs à revendiquer la protection des consommateurs dans la réglementation européenne et des États distincts, et c'est pourquoi il doit engendrer de grandes et variées revendications en faveur des consommateurs, que par la suite les associations peuvent faire siennes ou non, mais toujours apres de connaitre le point de référence de où ses revendications peuvent arriver.

Malgré le radicalisme mentionné, l'oeuvre présente est dirigée à l'obtention de l'authentique Marché Unique de Services financiers et autres services, un Marché Unique pour et avec les consommateurs. Pour cela il est basé sur quatre instruments basiques repris dans la proposition du Livre Vert pour la Protection des Consommateurs sur l'Union Européenne, dont nous nous faisons remarquer pour ce projet le point trois.

Les réglementations que dans le secteur de services financiers règlent l'économie, et pourtant la vie des consommateurs, est indubitable que chaque jour ils proviennent plus des institutions européennes plus que depuis les propres organismes nationaux.

Elle n’est douteux, la tentative d'intégration des marchés financiers en Europe, mais si est douteux quels sont les benefits des consommateurs dans ce processus d'intégration des marchés financiers. Dans cette situation, les associations de consommateurs, dans son activité de défense des consommateurs nous faisons probablement l'effort d'affronter un nouveau défi : la perspective Européenne, d'ici la nécessité d'aborder, comme nous avons fait dans ce fichier, les sujets qu'ils affectent à les consommateurs depuis une perspective européenne et éviter la partialité d'une étude nationale.

Les tendances proposées par les théoriques des politiques, de plus en plus réalisées depuis une enceinte un Européen, ils se concentrent sur la « desregulation” économique, l'exposition à la compétence des secteurs protégés, la privatisation d'entreprises publiques, l'application de formules de gestion privée aux rôles administratifs (un clair exemple de cela c'est le Fonds de Garantie), et la réversion à l'initiative privée de beaucoup de projets sociaux d'avance estatalissees. Comme il est facilement compréhensible, ces phénomènes - spécialement la privatisation d'entreprises publiques et la gestion privée et mixte des services publics ils se traduisent, d'un côté dans une demande importante de capitales à travers des marchés financiers, mais par l'autre dans une plus grande insécurité des consommateurs, que elle est probablement palliée à travers des initiatives comme la présente.

Ce processus d'intégration des marchés européens est encadré à l'intérieur d'un plus ample concept comme celui-là de globalisation, concept qui est identifié par l'interdépendance croissante de les économies nationales, provoquée par le développement du volume et de la variété des transactions transfrontaliers des biens ou des services, ainsi que par l'augmentation vertigineuse des flux internationaux des capitaux et par la diffusion accélérée et répandue de la technologie. Les constantes des progressions technologiques jointes à cette capacité des capitaux pour se mouvoir rapidement produisent la nécessité des consommateurs de s'adapter aux échanges chaque jour plus de complexes.

L'intégration des marchés a permis la différenciation du portefeuille des inversions vers des circuits éloignés des habituels, la croissance exponentielle des flux internationaux des capitaux, ainsi que la vitesse dans laquelle ces inversions se realissent, il produisse que la volatilité soit la norme. Ce protagonisme de l'économie financière s'est traduit dans une plus grande intégration et une convergence des systèmes financiers nationaux et, nous ne pouvons pas l'oublier, dans une plus grande complexité pour le consommateur, avec tout que celui suposse.

Les services et les produits financiers constituent un secteur avec un vaste marché potentiel, vital pour le bon fonctionnement de l'économie européenne. Dans ce point les États membres et l'UE suivent ayant un grand défi par-devant : réconcilier une haute protection du consommateur (condictio sine quae non pour obtenir la confiance du consommateur, sur laquelle finalement est basée la stabilité des marchés financiers) avec la nécessité de ce que le secteur peut satisfaire les nécessités changeantes et de plus en plus sophistiquées des intermédiaires financiers et des consommateurs.

C'est pourquoi est encore pendante la normative qui permet la libéralisation des services financiers et qu’elle doit accomplir les conditions suivantes:

1 º Une harmonisation des normes nécessaires pour garantir l'honnêteté et la sûreté dans un secteur, ainsi que une simplification de la même pour protéger les usagers des services financiers et pour garantir quelques conditions de juste compétence qui peuvent faire du bien à tous les agents impliqués.
2 º la Reconnaissance mutuelle des normes nationales, qui continuent dans une vigueur dans l'acceptation du principe du "contrôle dans un pays d'origine" par ce qu'ilfait rapport aux services qui sont fournis à une échelle communautaire.
3 º Certain degré de coopération pour faciliter le dit contrôle sur les services financiers fournis dans un autre état membre.
4 º une attention Spéciale à l'agrandissement UE en 2004 pour assurer la réception des normes de régulation des marchés financiers dans les nouveaux pays de l'agrandissement.

A toutes ces conditions juridiques se doibent joigner les concepts de: consommateur actif et d'une formation et une information au consommateur, qui doit connaître quels sont ses droits et il doit y avoir des canaux efficaces pour les exercer. En définitive, doit être créé encore aujourd'hui un vrai "pôle de des consommateurs", non comme une confrontation, mais comme facteur d'équilibre des grandes entreprises financières.

Des aspects critiques de la législation de services financiers en Espagne et en Europe

Dans le chemin vers un authentique Marché Unique et l'Union Politique, la convergence de des économies oblige à une correction des déséquilibres nationaux pour ainsi éviter des tensions postérieurs à celle-ci. Mais : pourquoi l'unification est-elle nécessaire ? La réponse à cette question faudra la trouver depuis les exigences qu'impose un système productif qui se dirige vers une économie mondiale absolument globalissee. Avec ces prémisses, l'exuberance de produits et de services qui offre aux citadins européens un marché si prolifique comme il est le financier, surpasse déjà l'enceinte strictement national, en sautant les frontières, donnée l'interconnexion qui suppose faire partie intégrante de l'Union Européenne; une enceinte où la voix des consommateurs est formée par plus de 300 millions de citadins européens.

Les produits et les services bancaires constituent un secteur avec un vaste marché potentiel, vital pour le bon fonctionnement de l'économie européenne. C'est ce point où, les États membres et la propre Union Européenne ont son grand défi : conjuguer la supervision et le contrôle d'un secteur changeant et complexe sur un marché globalissee avec la protection nécessaire aux consommateurs. La nécessité de plus grande protection juridique des usagers de services financiers vient donc conditionnée par sa libéralisation à un niveau mondial.

Le secteur bancaire est une enceinte clef dans la sphère économique et a une influence évidente et un intérêt pour le consommateur quant à qui la protection lui est garantie dans son activité typique : la consommation de services et de produits financiers, ainsi que pour qu'il soit garanti, la solvabilité et l'accomplissement de la légalité de la part de l'organisme financier. La réglementation communautaire et l'Espagnole nationale s'occupent à protéger les intérêts des consommateurs, mais non de tous les produits et services, ni avec l'intensité qu'ilrequiert. Il reste encore chemin pour parcourir et beaucoup de produits pour légiférer. Il faut suivre en luttant pour garantir au consommateur une juste défense de ses intérêts dans tous les produits qui sont d'un usage commun por lui: des emprunts hypothécaires, des fonds de placement, des assurances, etc..

Différents niveaux de protection au consommateur dans les distincts états de l'UE ils nuisent au consommateur, ses intérêts et au Marché Unique, mais les différents mécanismes de protection quand ils assurent un niveau adéquat de une protection n'ont pas pourquoi signifier des préjudices pour les consommateurs, par exemple, il devrait exister une plus grande transparence et une participation des consommateurs dans les processus dans ceux qui sont dirimés les controverses qui les affectent.

Des conditions requises pour obtenir une réglementation pour un marché unique de services financiers

En premier lieu, il semble évident que l'obtention de ce but requiert une harmonisation des normes nécessaires pour garantir une honnêteté et la sûreté dans le secteur, ainsi que une simplification de la même pour protéger à les usagers des services financiers et pour garantir quelques conditions de compétence joute laquelle peut faire du bien à tous les agents impliqués. De là la reconnaissance mutuelle des normes nationales, qui continuent dans une vigueur dans l'acceptation du principe du "contrôle dans le pays de l'origine "par ce qui se rapporte aux services que fournissez à une échelle communautaire. Telle reconnaissance cependant exigerait de plus un degré de coopération pour faciliter le dit contrôle sur les services financiers fournis dans un autre état membre.

De plus, une révision du cadre juridique est nécessaire pour établir une aire unique des paiements que - malgré l'introduction de l’euro suit sans exister. Les questions principales à aborder consistent en conditions requises d'information essentiels et cohérents dirigés aux clients, dans les droits et les obligations juridiques des usagers et prêteurs de services de paiement, dans la sûreté juridique des opérations, etc Ces questions sont particulièrement importantes pour les consommateurs, la plus faible partie entre les intervenants: des consommateurs, des entrepreneurs, les banques qui agissent comme prêteurs de services de paiement et pour le secteur des cartes de paiement.

Finalement, et donné l'actuel contexte, il faut exiger une attention spéciale à l'agrandissement de l’UE en 2004 pour assurer la réception des normes de régulation des marchés financiers dans les nouveaux pays de l'agrandissement.

À toutes ces conditions requises juridiques on doit joignt probablement les concepts de : un actif consommateur et d'une formation et une information au consommateur, qui connaît probablement quels sont ses droits et il a probablement des canaux efficaces pour les exercer. En définitive, on doit créé encore aujourd'hui un vrai "pôle des consommateurs", non comme une confrontation, mais comme facteur de un équilibre des grandes entreprises financières.

De principaux problèmes de l'actuelle réglementation national et Européenne de services financiers

Plusieurs sont les questions dans les lignes générales que on peut ressortir à l'heure d'évaluer la réglementation des produits et des services financiers national et Européenne. Le manque d'une claire réglementation dans l'enceinte financière, qui est caractérisée par sa complicité et une dispersion en plus de par sa complexité, il constitue sans doute le premier des aspects qui doivent être ressortis.

Une réglementation que on peut qualifier comme "faible" puisque sa création de réglementation dans une enceinte financière est réalisée par des instances simplement administratives (le cas Des circulaires du Banco de l'Espagne), sans les contrôles de la réglementation ordinaire et que dans beaucoup de cas son contenu est amplement nécessaire pour la protection des consommateurs.

Actuellement, comme conséquence de une influence anglo-saxonne en ce qui concerne à technique juridique et surtout à la suite des scandales comme Enron et Worldcom, il y a une évidente et inquiétante tendance á la substitution de la réglementation par des mécanismes de “autoregulation et des codes de bonnes pratiques ”ce qu'en pratique produise une réduction de la protection du consommateur. Les systèmes de régulation à travers des codes de conduite, des normes de bonnes pratiques, etc.. doivent de accomplir quelques conditions requises nécessaires : améliorer une réglementation inaliénable préalable, suffisante pour la protection du consommateur et être d’accord avec des associations de consommateurs représentatives.

Le manque d'harmonisation constitue une autre des questions à ressortir. Effectivement, de différentes réglementations en matière des services généraux, en général, et dans la protection du consommateur dans cette matière produise spécialement des degrés distincts de protection pour les consommateurs de différents des pays, évidemment cela ne nuit seulement à des intérêts des consommateurs mais empêche la création et les avantages du Marché Unique. Cette réalité, encore actuellement, manifeste de une manière obvie les quatre libertés du Marché intérieur : une circulation libre de personnes, des capitales, des services et des travailleurs. Pour arriver au but mentionné il n'est pas nécessaire qu'un unique mécanisme de protection existe pour chaque supposition, mais si un minime de conditions et de conditions requises communs que tous les mécanismes de protection doivent réunir pour garantir la protection nécessaire au consommateur et si que s'étend probablement peu à peu à l'homogeneización de systèmes (bien que seulement était par des critères d'économie simple du procès). Entre les éléments de ce manque de harmonisation l'une de plus saignant est la nécessité d'harmonisation des systèmes extrajudiciaires de défense du consommateur. Malgré l'avance qui a supposé la création (que non le déroulement) des systèmes comme FIN - NET (un réseau de résolution extrajudiciaire des conflits dans une enceinte financière), un problème de fond existe comme c'est le manque d'une crédibilité dans l'application de plusieurs de des systèmes nationaux de protection au consommateur. Ses délais, sa dépendance des organismes financiers et le manque de représentation des consommateurs dans les institutions de résolution extrajudiciaire de les conflits dans l'enceinte financière. Comme corollaire sur la question normative, nous devons dire que, au contraire de beaucoup d'autres secteurs, la difficulté des consommateurs pour connaître ses propres des droits est évident, celui ce que l'on traduit dans quelques droits existants mais indéfendables. De propre normes régleraient probablement les systèmes par que les consommateurs doivent être informés de ses droits, sans que l'on ne puisse attendre que soyez les propres organismes qui transmettent cet information. Il est nécessaire d'éviter la déjà stable l'image dont les consommateurs sont un peu étrangers à un système financier, plusieurs sont les voies de participation des consommateurs dans les propres organismes financières et que, pour un motif ou l'autre (non toujours claires) ne s'appliquent pas réellement, plus loin de simplement nécessaire pour accomplir une légalité obsolète et bureaucratique. La représentation des actionnaires dans les Conseils de l'Administration des entreprises coticées, celle-là des Impositors dans les Caisses d'Épargnes, des mutualists dans Mutuelles des assurances, etc.. En définitive, c'est nécessaire "démocratiser" aussi l'économie, en chauffant une participation des consommateurs dans des entreprises financières à travers des voies établis et au-delà de purement théorique. Par cela est fondamental la représentation des consommateurs, plus que jamais, dans les institutions qui rapportent aux moyens de paiement et aux services financiers à distance : spécialement dans l'EPC (European Payments Council) et l'application de plans avec des sanctions pour les suppositions d'inaccomplissement par le secteur financier en Europe.

Autre des problèmes auxquels se trouve exposé le bon fonctionnement du Marché unique est qu’il fait référence au différent traitement fiscal auquel viens soumis les divers types de produits financiers de la part de la Finances Publiques de différents états membres. Dans ce sens, paraît, absolument nécessaire aborder l'harmonisation fiscal entre les pays membres avec l'établissement d'un minime commun normatif que permettez au consommateur de donner par assis quelques critères de comportement en matière fiscale par rapport au service financier commercé.

La Commission Européenne se doit fixer comme but l'élimination des distorsions que la fiscalité provoque dans les opérations financières, en tendant, d'une manière à l'établissement de une neutralité fiscale des produits financiers, c’est à dire, que le consommateur décide obtenir un produit ou un service par sa rentabilité économique et non par ses avantages fiscaux.

Par rapport au sujet de la fiscalité, il convient prévenir que des organismes financiers européens existent avec de propres succursales dans des paradis fiscaux, ce qui suppose un grave risque tant pour des clients comme pour les petits actionnaires des organismes financiers.

Finalement, dans cette question il est fréquemment observé que le manque d'harmonisation fiscale provoque les mouvements de capitales qu'ils s'occupent exclusivement aux raisons fiscales et non par des avantages compétitives. Un autre effet non désirable que provoque l'absence d'harmonisation fiscale est le clair obstacle qui suppose pour une prestation libre des services financiers ce qui vient à mettre à une défense la compétence libre et un propre concept de Marché Unique. Dans ce sens, il convient de ne pas perdre de vue les tentatives oligopoles du secteur financier ils se maintiennent sans qu'une vraie compétence n'existe des organismes financiers, au-delà d'essayer de retenir par tous les moyens au client.

Nous ne pouvons pas non plus oublier l'exigence d'un renforcement des systèmes de protection, comme fonds de garantie (des dépôts, d'inversions et des assurances), l'obligation de ratios d'une solvabilité, etc. Non plus protection du surendettément, devant l'apparition de nouvelles nécessités; ou le droit de rétractation que dans quelques pays sont couvertes et dans les autres non, en créant une inégalité évident pour les consommateurs, que, cependant, supportent probablement une publicité similaire et des caractéristiques similaires des produits.De plus, il convient de ressortir l'apparition de nouvelles formes d'inversion, comme c'est l'inversion dans des biens tangibles qui sont seulement réglés à force de un scandale et des problèmes, sans anticiper de solutions par le législateur, ce qui est négatif pour un consommateur et pour les entreprises du secteur.

Naturellement, toutes les appréciations antérieurement réalisées servent de rien si non c'est possible pour un consommateur réclamer effectivement ses droits. Dans le cas de l'Espagne, par exemple, les organismes financiers refusent avec rotondité à accepter un système d'une résolution extrajudiciaire de conflits accepté par beaucoup d'entreprises: Les Assemblées Arbitrales, et encore une fois un propre système a été dessiné: les "défenseurs", les personnes payées pour le propre organisme et sans aucun trait d'indépendance, que plus que protéger les consommateurs les excite à la rébellion et réduit sa confiance dans le système financier.

La problématique concrète dans le secteur des services financiers en Europe

Dans une enceinte plus concrète, la desprotection dans le secteur bancaire, d'assurances, et des valeurs ils réfléchissent dans :
- -Le manque d'information au consommateur.
- -Une protection inefficace des consommateurs front à une nouvelle création de commissions
- -Une imposition des organismes d'engagement des services et/ou des produits connexes
- -Un manque de transparence dans la concession des emprunts rapides à la consommation.
- -Conjoncture et une préparation peu abondante dans les domaines commerciales des organismes financiers: les agents, les rotations, etc..
- -Une solvabilité et une garantie des organismes financiers. Une des questions qui préoccupe excessivement aux usagers de services financiers c'est la solvabilité des organismes auxquels ils confient ses épargnes. Il serait nécessaire d'instaurer un système de garantie ou de protection à l'intérieur du cadre européen. Il serait également nécessaire la création d'un registre unique européen d'organismes financières habilitées qui de plus il permettait garantir les bonnes pratiques bancaires et financières par les organismes ainsi que son la consulte par une personne intéressé.
- Des conditions contractuelles
a) Des périodes de réflexion : c’ est d'une importance spéciale l'établissement de périodes de réflexion ou dénommés des périodes de grâce dans des contrats d'acquisition de services et de produits des financiers. Le consommateur se trouve poussé, par la publicité et les systèmes de vente, à accepter des contrats que peut-être étudiés de forme détenue pendant une certaine période de réflexion et il peut arriver à voir qu'ils sont préjudiciables et renoncer des mêmes.
b) Des clauses abusives : les contrats ne sont pas peu nombreux rédigés par les propres organismes les financières qui contiennent des clauses abusives, c’est à dire, les conditions contractuelles qui sont en faveur ou foulent aux pieds les droits fondamentaux du consommateur. Il est difficile d'agir contre ces clauses à posteriori (par lequel on pourrait, à l'intérieur des codes de bonnes pratiques chercher une collaboration avec des Associations de Consommateurs pour arriver aux accords préalables), bien elles soient légalement nulles il est nécessaire qu'ainsi le juge le décrète ou le tribunal (avec la complexité que cela a), de façon à ce que, jusqu'à cette déclaration les clauses ont une pleine vigueur et une application. De plus, quand l'usager essaie de dénoncer l'application et la légalité de ce type de clauses l'organisme financier essaie d'arriver à un accord économique avec le consommateur de façon à ce que se conserve la clause dans le contrat qui est utilisé pour célébrer des contrats en masse.

- -Une ignorance des systèmes extrajudiciaires de résolution de conflits.
- -Des produits de plus en plus complexes.
- -Des déficits dans la supervision des organismes financières.
- -La nécessité de l'application immédiate de le réglemente 256/2001/CEE sur des paiements dehors les frontiers, actuellement absolument failli par le secteur financier et qui suppose le manque de réalité dans un marché unique avec liberté de capitales.

- Élever au rang de Directive les éléments référants à la responsabilité du consommateur dans le cas de paiement frauduleux ou erroné avec des moyens de paiement différents de l'effectif, en particulier dans des paiements avec cartes.

- Unifier au niveau européen l'accès aux marchés des entreprises de services financiers: la solution aux problèmes comme le cas de "domiciliation à l'étranger ", jusqu'à présent non résolues:c'est, par exemple, le cas des opérations de dette direct, qui n'existent pas encore à un niveau communautaire

- La sûreté dans les moyens de paiement, comme un élément clef du système, doit être probablement, comme est écrit dans la Communication de la Commission au Conseil et au Parlement Européen, le 02/12/2003, condition "sine quae non”. C’est absolument nécessaire l’évaluation, la certification (au moyen des systèmes et les structures qui impliquent les représentants des consommateurs, pour obtenir une plus grande confiance de ceux-ci) de la sûreté des systèmes et des instruments de paiement.

Présent et futur de la protection au consommateur Européen

L'effort pour donner un protagonisme au consommateur dans le cadre d'un marché unique Européen fait nécessaire une protection du consommateur depuis le moment préalable à l'engagement, dans les phases de une publicité et une information et par la suite, dans la phase d'exécution du contrat, que dans une certaine manière viendra conditionnée par la protection que le consommateur a reçue dans les phases préalables à celui-là.

D'un autre côté, toute politique que protège les intérêts des usagers de services financiers doit tendre vers des voies de réclamation d'accès facile et de compréhension pour le consommateur qui soient rapides, efficaces et non coûteuses. Nous nous ne pouvons pas ancrer dans quelques systèmes de résolution judiciaire confus et qui aident à porter des soupçons à un usager, précisément dans quelques contextes mercantiles où la rapidité à l'heure de commercer, motivée par le déroulement de nouvelles technologies, peuvent provoquer à un demi terme un développement du volume des opérations entre différents états, toujours et quand un effort exist pour renforcer la confiance du consommateur en tous les aspects et les phases de l'engagement.

Dans l'enceinte financière cette nécessité démontre spécialement urgent : Internet, une banque téléphonique, des cartes monnayeur ... des champs qui requièrent tous une régulation et un contrôle efficaces pour éviter que ces progressions signifient seulement une augmentation du desprotección de l'usager de services financiers.

L'ESPAGNE

État de la législation Européenne et un national de services financiers, résumé des problèmes principaux internationaux et nationaux dans la législation en relation avec les consommateurs

Dans un niveau européen la protection des consommateurs dans le secteur des services financiers devrait garantir que existe une information préalable suffisamment ample, complète et dans des termes compréhensibles pour que le consommateur connaisse et prenne la conscience de tous les aspects du service qui le sont prêtés ou du produit qu'il va engager avant le moment de la prestation ou de l'engagement, même avec une période préalable de réflexion suffisamment ample et dans son défaut une possibilité de révocation dans quelques conditions qui permettent son caractère effectif. L'agilité avec laquelle les transactions se développent actuellement dans les services financiers, la grande quantité de produits et de services et la complexité de la majorité d'eux pourrait compliquer dans une certain mesure la transparence que les consommateurs demandent, mais cela n'est pas obstacle pour que dès les institutions communautaires une réglementation soit dictée, celle qui non harmonise seulement la législation nationale mais qui soient dotées d'un contenu efficace à l'heure de la protection des consommateurs, en facilitant en premier lieu la prévention des problèmes et en dotant les consommateurs de mécanismes agiles, effectifs et sans des coût de solution des conflits.

Dans l'enceinte financière une nécessité pressante existe de systématiser la réglementation européenne de protection au consommateur. Il faut qualifier tant à la réglementation nationale comme communautaire de confuse, complexe et dispersée ce qui n'est pas synonyme d'efficacité, au contraire l'application de toute cette législation a été incapable d'empêcher que dans les derniers temps, ils ont surgi, des authentiques scandales financiers, qui prolifèrent malheureusement chaque fois plus fréquentement et en affectant des groupes plus nombreux et amples de consommateurs. Mais le plus grand problème n’est pas ce que la réglementation existante a été insuffisante pour éviter les conflits mais qu’il a été incapable de les résoudre. On peut citer des affaires si claires comme le scandale en Espagne de la fermeture massive d'académies de langues qui a laissé des centaines de milliers de consommateurs espagnols immergés dans un conflit avec les organismes financiers pour prétendre qui paient un service qu'ils ont cessé de recevoir et qu'a dérivé dans une multitude de procédés judiciaires, lesquels finissent avec des solutions différentes. Il semble que le législateur est incapable d'approuver une réglementation que empêche l'existence de conflits et il se contente avec la remède pour empêcher que le même conflit se répète dans l'avenir, c'est-à-dire les organismes financiers ils vont par-devant de la norme et profitent ses déficiences pour éviter la protection du consommateur et pour ainsi engraisser son déjà de par oui entrées considérables en ignorant les droits des consommateurs. Dans ce sens en Espagne seulement après le scandale en question de la fermeture massive d'académies la Loi de Crédits à la Consommation a été modifiée , ce qui n'a pas résolu le problème des consommateurs affectés, seulement on a fait des remédes partiellement pour essayer d'éviter que l'on utilise les mêmes mécanismes pour commettre une fraude de loi, mais avec beaucoup de probabilité elle n'empêchera pas que des autres surgissent.

Il y a une tendance excessive de régler les activités des opérateurs financiers à travers de l’autoregulation, des codes éthiques et des codes de bonnes pratiques, qui limitent la protection du consommateur puisque d'un côté son observance est contrôlée en général à travers des organismes administratifs sans que ses décisions ne soient exécutives et de l'autre son élaboration est faite au dos de l'opinion et sans disposer d'une intervention significative des propres consommateurs, un exemple de cela nous le trouvons dans l'enceinte hypothécaire dans laquelle un accord de bonnes pratiques avait la prétention de réduire le niveau de protection acquis par les consommateurs espagnols.

Rendu compte dont chaque État membre de l'Union Européenne a développé son propre système de protection du consommateur, on doit avancé dans l'homogèneité de la protection dispensée aux consommateurs en matière des services financiers par les distinctes réglementations nationales, le manque d'harmonisation doit se corriger avec une réglementation européenne inaliénable d'accomplissement obligé qui obtiennent que la protection des consommateurs soit de la même intensité indépendamment du pays dans lequel ils se trouvent. Si un aspect essentiel existe dans la protection des consommateurs, dans lequel le manque d'harmonisation est très évident, est celui-là de la résolution extrajudiciaire des conflits, qui dans l'enceinte des services financiers est permis qu'il reste exclu du système habituel à travers de l'arbitrage de consommation. En Espagne non on permet seulement mais il est chauffé en réglant de propres figures comme le dénommé “Défenseur du Client”, une figure dont une réglementation spécifique n'existe pas dans aucun autre secteur, qui n'a pas de nature d'arbitre parce qu'il est imposé par l'organisme financier au consommateur en étant celle-ci celle qui se charge de son financement, est plus, on crée des organismes administratifs spécifiques pour résoudre les réclamations des consommateurs, des résolutions qui ne sont pas telles mais informations simples puisqu'ils ne sont pas inaliénables pour les parties au contraire de ce qu'il arrive avec les arbitrages arbitraux. Comme il est vu, un traitement spécial, différencié et privilégié existe vers les organismes financiers dans les conflits qui surgissent avec les consommateurs, qui n'a aucune justification et permet d'octroyer à ces organismes quelques avantages dont ilsont profitent, ce qui signifie que quand il y a quelqu'un bénéficiaire toujours il y a un autre prejudicé, dans ce cas les consommateurs sont nuis.

En concrétisant les problèmes plus usuels que les consommateurs se trouvent dans le secteur de services financiers dans l'enceinte européenne, l'origine de son desprotección et en pointant quelques solutions possibles les suivants se proposent :

- Un manque d'information : une réglementation européenne d'accomplissement obligé doit être promulguée par les États membres qui promouvoit et garantit l'information préalable du consommateur. Le manque de connaissance de ses droits empêche son exercice. Le consommateur avant l'engagement doit connaître et entendre tous les aspects du service qu'il va recevoir, cela est obtenu en obligeant aux organismes financiers à mentionner par écrit d'une forme lisible et distinguée les aspects essentiels du contrat. Il ne suffit pas qui apparaisse dans le contrat, mais il serait précis que l'on spécifiât très clairement comment il doit être représenter, c'est-à-dire, un lieu, un ordre, une grandeur du caractère, etc..

Mais ce ne serait pas suffisant avec cela, il faut contenir la conséquence légale du manque d'accomplissement de la part de l'organisme financier des formalités exigées, qui ne doivent pas être d’autres que les plus favorables pour le consommateur, en arrivant à décréter même la nullité contractuelle et la restitution des prestations, en recourant toujours au consommateur.

Aussi une régulation de la publicité serait nécessaire dans le secteur financier, on ne tient pas doute du grand poids des annonces de produits et services financiers dans la publicité, de grandes campagne publicitaires sont faites dans de grands médias en stimulant la consommation et en contribuant en grand partie à l'endettement excessif, une régulation spécifique en ce qui concerne le contenu devient précise.

Finalement, il doit être permis que l'information au consommateur ne provient pas unique et exclusivement des organismes financiers mais il est nécessaire que des mécanismes d'accomplissement obligé s'établissent pour que toute l'information disponible arrive aux Association de Consommateurs de forme effective, pour qu'elle puisse être proportionnée aux propres consommateurs par celles-ci, en se mettant à la doter de cette forme des caractéristiques d'indépendance et de neutralité.

- Une période de réflexion : Comme il s'est déjà dit, la complexité chaque fois plus grande des produits financiers donne lieu à ce que les consommateurs une grande partie des fois ignorent exactement ce qu'ils achétent. La précipitation avec laquelle les contrats sont célébrés ne contribue pas à améliorer l'information que les consommateurs ont. Il faudrait espérer que la réglementation européenne obligeait aux organismes financiers à effectuer avec l'anticipation suffisante une offre contractuelle au consommateur avant que le contrat ne fût célébré, où les termes essentielles du même se contenaient . De la sorte, au moment de l'engagement le consommateur qui s'était décidé pourrait émettre d'une manière consciente et mûre sa déclaration de volonté avec une connaissance totale de cause, en évitant des surprises désagréables et la majorité des fois insurmontables.

- Un droit de révocation : Le droit de se rétracter quand le contrat a été signé de la part du consommateur il doit être garanti d'une forme effective, et plus dans ce secteur complexe. De plus, il peut arriver que pour un service déterminé il n'est pas possible que le consommateur peut effectuer une réflexion préalable par la propre dynamique et l'agilité du même. Dans ces cas interdire au consommateur de son droit à se rétracter serait tant comme le laisser dans un état de manque de défense total. La révocation devra pouvoir être effectuée d'une manière facile et avec le moindre prix possible pour le consommateur donc de autre façon, avoir à accomplir quelques formalités excessives et s’il y a de grandes sanctions, on empêcherait son exercice effectif, ce qui serait comme dire que l'on manque d'un droit de révocation.

- Une création de nouveaux coûtes par l'utilisation des services. Il est évident que les organismes financiers s'ingénient à toucher aux nouveaux consommateurs des prix par les services qu'ils prêtent, devant la passivité des Autorités Publiques. Le cas des commissions bancaires est paradigmatique et indicateur du desprotection des usagers des services financiers. Par l'utilisation des mêmes services les organismes financiers chaque fois touchent plus d'et plus de commissions, en engraissant ses comptes de bénéfice une année après une année. Actuellement les remèdes, pour éviter l'abus de ces commissions tant à un niveau national comme à un niveau européen ils sont inexistants.

En Espagne chaque usager de bas paie 176 euros par an commissions dans une opérante bancaire "basique" c'est-à-dire sans compter d'emprunts ou d'autres produits au-delà d'un compte courant, d’une d'épargne, d’une carte de crédit et d'autre de dette, cela trouve son origine dans l'établissement de nouvelles commissions, et dans des commissions sur les services dans lesquels d'avance on ne payait pas et la augmentation des déjà existantes. Et cela, malgré qu'il faudrait attendre, ne redonde pas des améliorations des services prêtés, mais au contraire s'établissent des nouvelles limitations intolérables d'horaires (, pour payer des reçus non domiciliés, quelques organismes l'admettent seulement dans un horaire très restreint et seul deux jours par semaine) ou ils laissent de prêter de déterminés services (par exemple les retirées d'effectif ne sont pas permises par guichet si la quantité est inférieure aux 300 euros, ayant être obligatoire le faire chez un caissier automatique, ce qui oblige posséder quand moins une carte de dette avec ses commissions correspondantes (c’est clair).
Et le pire n'est pas cette prolifération de commissions, l'inouï consiste en ce qu'il s'établit en faillant la déjà de par si réglementation faible en vigueur dans la matière. La plupart des fois les commissions n'apparaissent pas dans le tableau d’affichages du bureau bancaire et par règle général ne communiquent pas préalablement au consommateur comme il est d'un accomplissement obligé. Devant cette situation et donnée la pratique commune et absolument généralisée de tous les organismes financiers l'administration publique est incapable de couper cette situation.

La solution passe pour garantir le droit à l'information avec un caractère préalable de toutes les commissions existantes de la part du consommateur et en établir la conformité du consommateur pour la modification des commissions stipulées initialement. De la même manière qu'a été introduit le caractère obligatoire dont les caissiers automatiques informent avec un caractère préalable du montant exact de la commission qu'ils touchent pour chaque opération effectué, il est nécessaire que le consommateur soit ponctuellement informé de forme effective et digne de quel est le prix exact des commissions par chaque service qui est prêté, et dans le cas dont des nouvelles commissions s'établissent par des services dans ce qu'auparavant il ne se payait rien ou dans la supposition de ce que la quantité des déjà existantes augmente il est indispensable que le consommateur octroie par écrit son consentement à partir du moment dans lequel entre en vigueur la modification, puisque cela suppose une modification des conditions contractuelles qui exige le consentement de toutes les parties et elles ne doivent pas être imposées unilatéralemen, dans ce cas les organismes financiers.

-Imposition aux consommateurs de produits ou de services connexes. Les organismes financiers, en s'abritant du manque d'information des consommateurs de ses droits, "placent" des produits et des services connexes au contrat principal qui consiste en ce que le consommateur veut réellement commercer. Un exemple paradigmatique est dans l'engagement d'une hypothèque, les organismes financiers en sachant que l'unique sûr obligatoire par loi est celui-là d'incendies de l'immeuble hypothéqué mettent l'occasion à profit pour faire commercer au consommateur toute type d'assurances avec ses propres compagnies (de foyer, de chômage, d'accidents …), en obligeant à domicilier les listes, les cartes ou autre type de produits. Il est nécessaire que la prolifération de cette pratique se limite en premier lieu en proportionnant l'information appropriée au consommateur sur le caractère non obligatoire de ces produits ou de services connexes, de son prix exact et en permettant au consommateur qui une fois commercés peut se détacher facilement d'eux sans que le contrat principal ne soufre pas de modification.

- Un manque de transparence dans la concession d'emprunts rapides à la consommation. Il y a actuellement une grande prolifération d'entreprises qui offrent des emprunts presque immédiats de quantité modérée. Ces compagnies réalisent des campagne publicitaires dans lesquelles le consommateur n'est pas informé du prix réel de l'opération. La réalité consiste en ce que les intérêts qui se paieront dans la dévolution de l'emprunt, ils sont assez supérieurs aux normaux du marché, mais le consommateur aveuglé par la facilité de formalités et la proximité avec celle qui va disposer de l'argent ne fait pas attention à la dite circonstance. La nouvelle réglementation européenne de crédits à la consommation doit prêter une attention spéciale à ce type d'emprunts en devenant spécial attention à l'offre contractuelle préalable, le droit de révocation du consommateur, le contenu du contrat en se détachant préférablement la mention aux intérêts et autres coûtes et en reglant le contenu de la publicité de façon que à la même ne soit pas induit à une erreur sur le prix réel d'emprunt.

- Conjoncture et une préparation peu abondante des aires commerciales des organismes financiers. Les organismes financiers tendent à une politique de restriction du personnel et d'épargne de coûtes de travail, à ce que le personnel qui s'occupe des travaux commerciaux a une préparation peu abondante, d'un côté parce qu'une grande précarité existe dans l'emploi, une grande partie ont un contract temporel et de l'autre parce qu'ils manquent d'une formation adéquate, on s'étend à la substitution de diplômes supérieurs par des diplômes moyens, par l'épargne résultante de coûtes salariaux que cela suppose. D'un autre côté, la rétribution est stimulée par l’obtention de buts, de façon à ce que combien de plus de contrats ou services soient réalisés il reçu plus. Elle n'est pas non plus réglée spécifiquement, la figure de l'agent financier. Tout cela achemine au détriment du consommateur, puisque l'information que le consommateur reçoit sur les produits ou les services que lui contrat provient de ce type de personnel, qui manque de la formation adéquate. Il serait précis une réglementation pour obliger aux organismes financiers auxquels c'est uniquement un personnel qualifié celui qui a un contact avec le consommateur tant d'avance comme dans le même moment de l'engagement.

- Une solvabilité et une garantie des organismes financiers. Une des bases du système financier est la confiance. Les usagers de services financiers demandent un système qui prévient que l'argent qu'ils déposent dans les organismes financiers soit garanti. Ce système doit garantir que l'on peut consulter d'une forme effective quel est l'état financier et de solvabilité d'un organisme déterminé avant de réaliser un engagement avec elle. En Espagne nous avons eu les cas qui démontrent l'inefficacité du mécanisme actuel, Gescartera et Eurobank del Mediterráneo ont été cas où les consommateurs ils n'ont pas eu l'opportunité de vérifier l'état réel de sa solvabilité avec un caractère préalable. Bien qu'il a été avancé à un niveau européen avec une législation qui a instauré quelques fonds de garantie qui répondent en face des consommateurs dans des cas d'insolvabilité des organismes, à un niveau national sa mise en pratique a été d'une manière tardive et complètement inégale et parfois d'une forme inefficace. Il est nécessaire une harmonisation de toute la législation nationale , avec l’établissement d'une quantité garantie minimale actualisée et au moins du même montant celle qui dans ces moments est plus élevée de tous les États membres. Il est précis d'établir un système de protection ou de garantie à l'intérieur du cadre européen et on doit créer un registre unique européen qui soit facilement accessible par les consommateurs dans lequel se contiennent les organismes financiers habilités que proportionne une information financière sur son état de solvabilité et qu'il permet de garantir les bonnes pratiques.

- Des clauses abusives. Les contrats célébrés par les consommateurs avec les organismes financiers sont d’adhésion, dans lesquels le consommateur manque de la capacité de négociation des conditions générales, qui sont rédigées préalable et unilatéralement par les organismes financiers. Dans non peu d'occasions les clauses ont un caractère abusif puisqu'elles privent ou limitent les droits des consommateurs. Bien que quelques progressions ont existé dans la protection en face des clauses abusives sont encore insuffisantes, et il est vrai que ces abus continuent à se commettre. C’ est positive, la création d'un registre de conditions générales de l'engagement bien que ce serait nécessaire le doter d'un contenu efficace. Il serait précis d'établir le caractère obligatoire d'inscription préalable des conditions générales pour qu'elles eussent un caractère inaliénable pour les consommateurs, en étant nécessaire pour l'inscription qui se donnait la conformité préalable par un organisme qui examinait si elles sont ou non abusives à ce que devront partager d’une forme effective les organisations de consommateurs et d'usagers. Actuellement il y a seulement des commissions ou des organismes, avec une participation testimoniale des consommateurs et dont les décisions ne sont pas inaliénables, par ce qu'ils ne manquent d'aucune efficacité dans le contrôle des abusividad des clauses des conditions générales. L'actuel système approche nécessairement à que le contrôle est toujours à posteriori et toujours à travers des Tribunaux de Justice. Il ne tient pas doute que des actions de cessation aient doté l'Administration de Justice de quelques procédés judiciaires efficaces et dans lesquels il faudrait théoriquement donner la caractéristique de la célérité, mais pour les consommateurs la résolution unique des conflits et exclusivement à travers de la voie judiciaire il est toujours coûteux et proportionne une solution tardive. De plus, quand un organisme financier est dénoncé par un consommateur en particulier il essaie d'arriver à un accord économique avec le consommateur pour essayer d'éviter la déclaration de nullité de la clause controversée et qu'elle suit en vigueur pour son application aux autres consommateurs. Actuellement à la marge des actions judiciaires, les Associations de consommateurs ne disposent pas d'autres outils de nature extrajudiciaire, qui permettent d'éradiquer les clauses abusives des conditionnés généraux . Le système idéal est celui-là du contrôle préalable du contenu des conditions générales, dans lequel l'Association de Consommateurs comme représentante des intérêts des consommateurs doit avoir un protagonisme remarquable.

- Méconnaissance des systèmes extrajudiciaires de solution des conflits. Comme a été déjà mentioné, aux organismes financiers leur est permis de posséder un propre système de résolution extrajudiciaire de conflits. En Espagne même ce régime spécial est chauffé puisque des dispositions normatives ont été dictées pour régler le dénommé “Défenseur du Client” à solde des organismes financiers et on crée divers organes administratifs de réclamations, dénommés "Mandataires", dont les jugements ne sont pas inaliénables pour les organismes financiers d'être favorables pour les consommateurs. Eh bien, encore ayant ce système inefficace extrajudiciaire de solution de conflits les consommateurs ignorent son existence et la vérité consiste en ce que les statistiques qui réalisent ces organes administratifs présentent un nombre exigu et lamentable annuel de réclamations. Bien que l'on oblige à publier dans le tableau d'annonces des bureaux des organismes financiers le nom et la direction des défenseurs du client, les organismes financiers la plupart des fois faut à cette obligation. La solution passerait pour faire obligatoire que dans tous les contrats de prestation de services ou d'acquisition de produits financiers une mention se contenait dans un lieu préférentiel et d'une forme lisible et destacable aux systèmes de réclamation extrajudiciaire.

- Des produits de plus en plus complexes. Les entités financiers devant la perte accusée de rentabilité des inversions traditionnelles, par exemple à travers de la bourse, ont imaginé de nouveaux produits financiers avec ceux qui essaient de déplacer les pertes possibles aux consommateurs de façon à ce que l'organisme reste à sauf des oscillations des marchés. Ainsi a surgi un nouveau sort de contrats dénommés des contrats financiers atypiques dans lesquels les pertes dans les épargnes sont assumées par le consommateur sans que celui-ci ne sache réellement le risque qu'il assume au moment de l'engagement. Dans ces cas, nous recommençons à influer sur le manque d'information du consommateur apaisé par les pratiques mauvaises commerciales des organismes financiers qui omettent d'informer des données essentielles du contrat. Déjà des propositions se sont aigries pour essayer de résoudre le déficit d'information du consommateur, qui dans ces nouvelles figures contractuelles devrait s'appliquer avec une plus grande rigueur s'il est possible.

- Des déficits à la supervision des organismes financiers. En Espagne on a eu récemment clairs exemples de ce que les organismes financiers manquent d'un système de supervision et de contrôle efficace pour la protection des consommateurs. Le cas Gescartera et la suspension de paiements de l'organisme “Eurobank del Mediterráneo” a supposé que des milliers de consommateurs ont vu comme disparaissaient les épargnes qu'ils avaient déposées. Les deux organismes étaient supervisés par les organismes publics compétents sans que les consommateurs n'eussent été prévenus d'une irrégularité patrimoniale aucune. On doit établir des mécanismes de responsabilité de l'organisme supervisor en face des consommateurs quand un organisme financier supervisé laisse les consommateurs sans les épargnes qu'ils ont déposées, de cette forme l'inspection déficiente n'affecterait pas à la plus faible partie qui sont les propres consommateurs. D'un autre côté, il est nécessaire que les consommateurs connaissent d'une forme effective les sanctions imposées par l'organisme superviseur aux organismes financiers qui agissent irrégulièrement, pour cela on doit donner les plus grandes des publicités possibles, en recommençant à signaler que le travail de renseignements et préventif que les Associations de Consommateurs peut réaliser dans ce terrain serait de l'utilité maximale pour ce qui doivent être doteés des moyens adéquats.

- Responsabilité du consommateur en cas d'un paiement frauduleux ou erroné avec cartes. Fruit de la tendance d'établir dans un niveau européen la protection des consommateurs dans les services financiers avec méthodes dénommées "flexible", à travers des accords, des recommandations, des codes éthiques, des accords de bonnes pratiques, etc., nous nous trouvons que la matière de la responsabilité des consommateurs en cas d'un vol ou une perte de carte est réglée au moyen d'une recommandation qui loin d'être systématiquement appliqué par les organismes financiers est ignorée. La solution est bien facile, élever d'une forme immédiate la recommandation à un rang de Directive communautaire pour qu’elle soit d'un accomplissement obligé par les organismes financiers.

- L'endettement excessif des consommateurs. L'actuelle politique économique qui stimule la consommation comme l'un de ses moteurs est coupable dont les consommateurs ont atteint un niveau d'endettement à la limite de sa capacité économique. D'une montée plus ou moins significative de taux d'intérêt , cela supposera l'état de faillite familière de beaucoup de consommateurs qui ne pourront pas affronter la dévolution des emprunts et de crédits qu'ils ont actuellement comme commercés. Pour citer un exemple, selon les dernières données publiées seulement le paiement des hypothèques supposent 42 % du salaire moyen en Espagne et cela malgré les bas taux d'intérêt des derniers temps. Il n'existe pas malheureusement une normative Européenne qui prévient et donne solution au surendettement des consommateurs. Les solutions passent en premier lieu pour la prévention, de façon à ce que le financier au moment d'accorder le financement connaisse l'état patrimonial réel du consommateur et a défendu dépasser des limites déterminées malgré la volonté contrariée du consommateur, pour cela on devrait créer les registres d'accès facile dans lesquels est établi le niveau d'endettement des consommateurs avec les organismes financiers. Et aussi on devra approuver une réglementation européenne d'accomplissement obligé qui règle les situations de faillite familière de façon à ce que le consommateur surendetté puisse dilater ses paiements dans le temps conformément à son capacité et vigueur réelle de remboursement. Système ce qui ne doit pas rester aux mains exclusivement des organismes financiers mais il doit s'arranger pour les manières et les formes dont les propres consommateurs ont une participation effective, en étant les Associations de Consommateurs comme ses représentantes celles qui peuvent défendre ses intérêts mieux dans cette enceinte.

- Sûreté dans les moyens de paiement. L'implantation de nouvelles technologies dans le secteur financier, comme Internet, la banque électronique et téléphonique, des cartes monnayeur fait de la régulation efficace de la sûreté dans l'utilisation de ces moyens une nécessité urgente. Sur ce champ est indispensable la participation effective de les Associations de Consommateurs dans l'instauration, l'évaluation et la certification de la sûreté des moyens et les méthodes de paiement, puisque ainsi la propre confiance des consommateurs sera apaisée dans les mêmes, en chauffant avec cela son usage et son étendue répandue.

En somme, elle ressemble atteinte, la nouvelle étape qui paraît pour qu’est partant la Commission de donner une importance à consulter avec les représentants des consommateurs avant l'approbation de la réglementation dans l'enceinte financière, qui a été commencée à entreprendre par la modification de la Directive de Crédit à la Consommation, chaque fois que cette consultation se traduit tout de suite dans l'approbation d'une réglementation d'accomplissement obligé pour les États membres qu'elle reprend les attentes et les suggestions exprimées par les consommateurs qui garantissent sa plus haute et adéquate protection . Il est temps de surpasser l'ère des “réglementations flexibles” à travers des recommandations, des codes éthiques ou des accords de bonnes pratiques qui n'ont supposées plus que des obstacles dans la protection des consommateurs et d'aborder d'une forme décidée la création d'un cadre européen harmonisé, qui dans aucun cas doit être une harmonisation minimale, mais une réglementation inaliénable d'accomplissement obligé doit être dictée par les États membres, en agissant prioritaire et d'urgence sur les champs de l'information effective du consommateur, l'opportunité de réfléchir, la possibilité de rétractation et la solution rapide, efficace et sans coût des conflits.


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