Des sinistres et des couvertures d'assurances
Les problèmes principaux auxquels font face les consommateurs
Seulement très peu de contrats sont réalisés après que le consommateur a cherché le conseil sur quelle assurance est convenable et sur les prix d'un corps indépendant comme les centres de la protection au consommateur.
Un nombre écrasant de contrats sont réalisés parce qu'un agent ou un vendeur d'assurances qui travaille pour un assureur, entre en contact et visite le consommateur. Seulement, très rarement, les contrats sont vendus dans la situation qui s'acquitte des nécessités des consommateurs.
En plus des agents et des vendeurs d'assurance qui représentent à peine une assurance, il y a aussi des agents et des fournisseurs de services financiers qui vendent des polices de plusieurs compagnies d'assurances. Récemment, les banques ont aussi commencé à vendre des assurances aux bureaux.
Toutes les personnes qui agissent comme agents d'assurances, soit comme agent, vendeur ou fournesseur indépendant, ils reçoivent des commissions, les plus hautes des inscriptions sont payées par des assurances traditionnelles de vie, des assurances de pensions, et par des assurances unit-link de vie et des pensions.
Chaque citoyen paie en moyenne 1.700 euros dans des assurances par année. Cependant, la majorité n'a pas de protection raisonnable. Les contrats sont souvent superflus et plus souvent, choisissent un assureur coûteux.
En moyenne, chaque famille a six polices, sans inclure les assurances qui oblige la loi à la majorité des personnes d’avoir un assurance médicale obligatoire, de la pension, du chômage et l'assurance obligatoire à une aide sanitaire à long term.
Les compagnies d'assurances gagnent à peu près 135 milliards par année en primes. À peine un tiers de cette quantité est pour le paiement de sinistres, ce qui a donné lieu à que les compagnies d'assurances aimaient une fortune étendue. Des millions d'euros sont quotidiennement invertis. Les compagnies d'assurances prêtent l'argent à la république fédérale, aux Länder allemands (états), aux communautés, aux compagnies et aux personnes privées. Grâce à l'argent direct qu'ils prêtent, les connexions personnelles et le lobbying efficace, les compagnies d'assurances ont une influence étendue sur le processus législatif et sur la science.
Malgré la haute facturation de primes et de l'énergie financière de la branche de l'assurance, l'analyse démontre que seulement un petit pourcentage des contrats d'assurance satisfait les nécessités de consommateurs. Cela est confirmé par les chiffres internationaux en relation au niveau des primes et des gains.
L'assurance dont un individu a besoin, dépend de sa situation personnelle. L'un doit avoir présent que l'assurance le premier de tout doit prévenir ou au moins atténuer la ruine financière au cas où un événement inévitable arrive. Ainsi, chaque personne a besoin d'une assurance médicale que la majorité des personnes possèdent grâce aux conditions requises obligatoriement. De la même manière, chacun a besoin d'une assurance de responsabilité civile qui couvre les conséquences financières de la négligence.
Toutes les personnes qui peuvent travailler ont besoin d'une assurance par invalidité grâce au fait dont dès 2001, tous les employés qui sont nés après le 1.1.1961 ne reçoivent acune prestation de l'état dans le cas dont ils ne peuvent pas travailler, et pour ce qui sont nés avant le 31.12.1960, les prestations étaient dramatiquement réduites. Cependant, les employés les plus âgés et ceux qui ont des problèmes de santé ont souvent des problèmes pour obtenir une assurance puisque les compagnies d'assurances peuvent repousser ses offres ou seulement les accepter dans des termes défavorables, en excluant certains problèmes de santé.
S'il a besoin d’une, une assurance de vie à term peut être appropriée. Cela s'applique aussi à l'assurance de troisièmes des autos et à l'assurance de foyer.
Cependant, seulement un petit pourcentage d'employés a actuellement une assurance d'invalidité et en grand partie non tous les citoyens ont une assurance de responsabilité civile.
Les produits de l'assurance vendus majoritairement à l'Allemagne sont pour une vie entière, pensions et unit-linked (assurance de vie et de pensions). Ils accumulent une actuelle valeur pendant la période de vigueur de la police et il donne comme resultat un paiement à la fin du terme spécifié. Ces contrats d'assurance sont réellement accords déguisés en épargnes.
L'un peut facilement détecter une brèche entre les nécessités réelles des consommateurs et les contrats finalement réalisés.
Une vie entière, des pensions, et l'assurance unit-linked de vie et des pensions sont vendus avec l'argument que les pensions de l'état ne seront pas suffisantes et chacun devra faire les approvisionnements individuels pour sa retraite. La crainte à la pauvreté au troisième âge nourrisse la vente des contrats d'assurance.
De plus, les contrats sont loués comme le manière de financer les propriétés immobilières. Au lieu de rendre l'emprunt bancaire directement, le consommateur paie des primes pour une assurance de vie entière, en attendant que la somme sera suffisante pour payer l'emprunt quand soit necessaire (un remboursement de l'hypothèque à travers d'une assurance de vie). Les contrats de vie entière se vendent aussi comme assurance de dotation éducative pour des enfants et comme assurance de décès pour le troisième âge. Dans ces cas, les avantages d'impôt et les hauts gains sont utilisés comme argument de ventes.
Dans le contrat même, les rendements ne sont pas mentionnés : les contrats de vie entière et de pensions ne proportionnent en général beaucoup plus que le capital garanti assuré et les contrats d'unit-linked en général n'ont pas de rémunération. Par ailleurs, ils n'informent pas aux consommateurs sur les hauts prix de ses contrats lesquels peuvent facilement monter à plus de 25 pour cent de leurs primes.
Puisque le modèle de la police est commun, les consommateurs peuvent seulement découvrir sur les prix après la réalisation du contrat. Cependant, comme les consommateurs tendent à considérer les arguments de ventes comme supposés et croient aux promesses des commerciaux, ils ne lisent pas souvent les CGI soigneusement pour vérifier les arguments des ventes dès que le contrat est signé.
Si les consommateurs le faisaient comme cela, ils pourraient facilement voir la brèche existante entre la prestation promise et la garantie. De la même manière, s'ils pouvaient complètement entendre le langage compliqué des CGI, ils verraient combien de possibilités ont les assureurs de manipuler et de malverser les primes en faisant courir un voile sur le calcul de primes. Le lissage des rendements est une pratique secrète et reste totalement confus si un rendement est satisfaisant ou joute.
Au moins les CGI de contrats réalisés depuis la fins de 2001 démontrent clairement pourquoi les contrats sont appuyés par le personnel de ventes: la méthode du calcul "Zillmer" permet que les assureurs soustraient tous les coûts relatifs au contrat (ce sont principalement les commissions) d'abord - avant de commencer à accumuler n'importe quelle valeur effectif. Ces coûts peuvent égaler jusqu'à trois ans de primes payées. Par conséquent, les consommateurs qui désirent avoir accès à la valeur de capitalisation dans les premières années en rachetant la politique, n'obtiennent pas qu'ils ne leur rendent rien.
La clause de prix dans les CIG dans les contrats réalisés jusqu'à 2001, s'est soutenue qu'elle était totalement opaque et incompréhensible par le Tribunal de Justice fédérale dans deux jugements le 09.05.2001 (le IV ZR 138/99 et le IV ZR 121/00). Cependant, le tribunal a précisé que la méthode du calcul "Zillmer" était conformé à la loi, si l'assureur et les assureurs étaient d'accord sur le même.
Les actuels privilèges fiscaux de l'assurance de vie entière et de pensions cesseront à la fin de 2004. Aucun impôt doit être payé en fonction des gains, si la période de la police a une durée minimale de 12 ans et que les primes se sont payées par au moins pendant cinq ans.
Bien que le privilège de l'impôt ne disparaîtra pas totalement, selon le prévu originellement, il sera restreint en grand mesure. Ainsi, l'argument principal des ventes cessera de s'appliquer, en se convertissant ces types d'assurance encore moins attractif d'une forme évidente pour les consommateurs.
Des suggestions
Il est douteux, que l'introduction de la police-modèle est dans une conformité avec la Directive 92/96 de l'UE. L'intention de la sec. 10 du VAG (La Loi allemande de la supervision de l'assurance) est clairement miné par la sec. 5 du VVG (La Loi du contrat d'assurance). Le standard désiré de proportionner toute l'information éminente d'avance s'est converti en exception alors que presque tous assureurs allemands utilisent la police- modèle prévu originellement pour être l'exception.
Le calcul des prix d'acquisition selon la méthode de calcul Zillmer est défavorable pour les consommateurs.
Les problèmes qui surgissent de la situation en Allemagne doivent être considérés dans des révisions futures de la législation européenne.
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